Casino légal en France
Jouer au casino en ligne sur les sites agréés de jeux d'argent autorisés par la France
Presque deux ans après la mise en place de la libéralisation des jeux en ligne, deux amendements votés par l'Assemblée Nationale le 17 février dernier, dans le cadre du projet de Loi de Finances rectificative 2012, viennent insister sur la mise en place d'actions et de moyens pour lutter contre les sites illégaux. En effet, de nombreux acteurs législatifs et spécialistes dans le domaine avancent que 20 % de l'activité des jeux en ligne en France prendrait place sur des sites illégaux. L'amendement 444 a pour principe de renforcer les pouvoirs des agents en charge des enquêtes contre ces sites pour le compte de l'ARJEL.
Cet amendement, présenté par l'ancien ministre des sports Jean-François Lamour, vient modifier l'article 7 de la loi du 7 mai 2010 sur la régularisation des jeux en ligne. Le premier changement intervenu avec cet amendement est assez technique. En effet, les agents chargés de mener les enquêtes pour l'ARJEL sont à l'origine des Officiers de Police Judiciaire (OPJ), des Agents de Police Judiciaire (APJ) voire des douaniers. Toutefois, le maintien de cette affectation originelle pendant les enquêtes sur les sites illégaux avait créé des problèmes, puisqu'ils ne pouvaient pas procéder légalement à la constations des infractions ainsi qu'au blocage des comptes bancaires des sites visés. Désormais, ils seront considérés comme des agents de l'ARJEL, ce qui permettra une plus grande liberté d'action.
Ces enquêteurs pourront, comme cela était déjà le cas, s'inscrire sous des pseudonymes sur des sites illégaux pour avoir accès à des informations et connaître les politiques de ces derniers. En outre, les officiers ne travailleront pas seuls. Ils seront en effet toujours en lien avec le Procureur de la République d'un côté, mais également de l'ARJEL. Cette dernière est en effet l'autorité administrative qui pourra attaquer pour le compte de l'Etat les sites illégaux qui continueraient à s'ouvrir au marché français. C'est enfin l'Autorité de Régulation des Jeux en Ligne qui aura les capacités de procéder aux blocages des comptes en banques des sites visés par une enquête et aux demandes de paiement de l'imposition mis en place par l'amendement 443 voté au même moment par l'Assemblée Nationale.
Avec cet amendement répressif, les députés ont vraisemblablement voulu renforcer les procédures visant les sites illégaux qui sévissent toujours en France, avec des effets qui seront à suivre ces prochains mois.
13 mars 2025 — La Française des Jeux (FDJ) continue d'enrichir sa gamme Illiko avec un nouveau titre baptisé "Monster Worlds". Zoom sur ce jeu qui permet de remporter jusqu'à 20 000 euros de gains. Comment ça fon...
12 mars 2025 — Trois étudiants en mathématiques de l'Université de Lecce, en Italie, ont récemment défrayé la chronique en remportant deux gains successifs au loto italien, totalisant près de 50 000 euros. Leur se...
12 mars 2025 — Le groupe Partouche a enregistré un produit bruit des jeux (PBJ) en hausse de +5,6 % à 182,9 millions d’euros au 1er trimestre de l’exercice 2025 (novembre 2024 à janvier 2025). Le chiffre d’affa...
10 mars 2025 — FDJ United, qui affiche de solides performances pour l’année 2024 marquée par l’acquisition du groupe Kindred, entrevoit de belles perspectives pour 2025. Une opération qui lui offre de nouvelles ...
Toutes les actualités des casinos en ligne légaux en France
© 2025 CASINO-LEGAL-FRANCE.FR - Tous droits réservés - Charte graphique Six Design
Mentions légales - Avertissement - Jeu responsable - Plan du site - Contact
Jouer comporte des risques: endettement, dépendance, isolement. Appelez le 09 74 75 13 13 (appel non surtaxé).
Les jeux d'argent sont interdits aux mineurs.
INTERDICTION VOLONTAIRE DE JEUX
Toute personne souhaitant faire l’objet d’une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du ministère de l’intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n°2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.